13/_Le prochain film sera de nouveau dans ce registre-là ?

Elie Chouraqui : Il faut que la suite reste une surprise. Ce que j’aime, le privilège que j’ai, c’est de pouvoir surprendre ceux qui viennent voir mon travail. Il y a des metteurs en scène qui ont clou et qui l’enfoncent, qui font à peu près les mêmes films, avec des auteurs et des histoires différentes mais dont les thèmes centraux sont les mêmes.
Moi, j’ai ce besoin d’éclectisme et d’universalité. J’ai fait des spectacles musicaux. Les gens disaient « Quoi ! Tu vas faire « Les 10 commandements » sur scène, et « Spartacus » ! C’est merveilleux, j’adore ça. En plus, ça s’est plutôt pas mal passé, mais c’était presque un reproche que l’on me faisait de vouloir faire des spectacles musicaux alors que j’étais cinéaste.
Quand j’ai écrit des romans, on m’a dit que j’allais perdre du temps. J’avais envie d’écrire, de passer un an à ma table à écrire une histoire. Quand j’ai fait des comédies, on m’a dit « pourquoi pas des drames ? » Quand j’ai fait des drames, on m’a dit « pourquoi tu ne reviens pas à la comédie ? »
Moi, j’aime pouvoir sortir de cette pièce et me dire que je vais avoir une surprise, rencontrer quelqu’un, parler avec lui, une porte va s’ouvrir sur un univers que je ne connais pas, que je vais pouvoir explorer, et dont je vais partager l’exploration avec les gens qui me font confiance et qui viennent voir mon travail. Voilà comment je fonctionne.
Moment de détente pour Isabelle (Barbara Schulz), son fils (Anton Balekdjian) et son amant (Marc Lavoine).
Moi, j’ai ce besoin d’éclectisme et d’universalité. J’ai fait des spectacles musicaux. Les gens disaient « Quoi ! Tu vas faire « Les 10 commandements » sur scène, et « Spartacus » ! C’est merveilleux, j’adore ça. En plus, ça s’est plutôt pas mal passé, mais c’était presque un reproche que l’on me faisait de vouloir faire des spectacles musicaux alors que j’étais cinéaste.
Quand j’ai écrit des romans, on m’a dit que j’allais perdre du temps. J’avais envie d’écrire, de passer un an à ma table à écrire une histoire. Quand j’ai fait des comédies, on m’a dit « pourquoi pas des drames ? » Quand j’ai fait des drames, on m’a dit « pourquoi tu ne reviens pas à la comédie ? »
Moi, j’aime pouvoir sortir de cette pièce et me dire que je vais avoir une surprise, rencontrer quelqu’un, parler avec lui, une porte va s’ouvrir sur un univers que je ne connais pas, que je vais pouvoir explorer, et dont je vais partager l’exploration avec les gens qui me font confiance et qui viennent voir mon travail. Voilà comment je fonctionne.
Moment de détente pour Isabelle (Barbara Schulz), son fils (Anton Balekdjian) et son amant (Marc Lavoine).