mardi - bouger et sourire
Vous dire que je n'ai pas du tout eu faim hier serait mentir. Mais seulement à l'approche de l'heure du repas comme habituellement.
On dit que perdre du poids ne se fait pas sans restriction, qu'il faut savoir ce que l'on veut, et souffrir pour maigrir. Pourtant aujourd'hui, avec l'expérience des nutritionnistes et le développement de nouveaux produits qui sont des leurres pour l'estomac, la faim peut être modérée.
À midi, je me suis tout de même surprise à secouer plus que raisonnablement le sachet ouvert de préparation au-dessus de mon assiette, question de perdre le moins de grains de poudre possible. C'est aussi le changement de proportion par rapport à un repas normal qui crée le manque. Une vue de l'esprit, puisqu'à la fin du repas je me sens rassasiée. La gélule coupe faim doit sans doute y être pour quelque chose. L'effort de stabilisation portera surtout sur la nécessité de garder des portions réduites et d'affronter la sensation de faim qui est ici amenuisée.
Ce que je craignais, c'est que ce régime me porte sur les nerfs. La faim me rend nerveuse. Et si une réunion se prolonge alors que l'heure du repas a sonné (j'aime manger à heures régulières), j'ai du mal à me concentrer. Manger moins, c'est comme fumer moins, ça peut rendre irritable. L'alimentation light de cette semaine va-t-elle me mettre les nerfs en pelote ?
J'ai pris dès le départ le contre-pied. J'ai décidé de sourire exagérément, pour ne pas dire à tout bout de champs. Je refuse de commenter mon ressenti (ces pages sont là pour m'en dispenser). S'entraîner à avoir l'humeur belle invariablement est un effort qui monopolise votre attention dès que vous quittez des yeux votre écran. Ça occupe donc ça vous empêche de penser à autre chose (suivez ma pensée…).
Autre initiative dont je me félicite, je bouge plus que d'habitude. Question d'annihiler toute nervosité rampante. Et accessoirement d'ajouter du muscle là où la graisse va fondre, ou a déjà fondu. 20 minutes de marche après le déjeuner et le soir la distance de 2 stations de métro à pied, et qui plus est, la tête haute et le ventre rentré. Vous n'allez pas me croire mais le poids que j'imagine perdu, c'est comme un sac à provision que l'on porte et qui est délesté petit à petit de sa charge. On gagne en légèreté.
> pourquoi moi ?
> les jours d'avant
> lundi - bonjour régime, adieu bombance
> mardi - bouger et sourire
> mercredi - 1ers résultats
> jeudi - il faut tenir
> vendredi, samedi, dimanche - et maintenant…
< retour introduction…
On dit que perdre du poids ne se fait pas sans restriction, qu'il faut savoir ce que l'on veut, et souffrir pour maigrir. Pourtant aujourd'hui, avec l'expérience des nutritionnistes et le développement de nouveaux produits qui sont des leurres pour l'estomac, la faim peut être modérée.
À midi, je me suis tout de même surprise à secouer plus que raisonnablement le sachet ouvert de préparation au-dessus de mon assiette, question de perdre le moins de grains de poudre possible. C'est aussi le changement de proportion par rapport à un repas normal qui crée le manque. Une vue de l'esprit, puisqu'à la fin du repas je me sens rassasiée. La gélule coupe faim doit sans doute y être pour quelque chose. L'effort de stabilisation portera surtout sur la nécessité de garder des portions réduites et d'affronter la sensation de faim qui est ici amenuisée.
Ce que je craignais, c'est que ce régime me porte sur les nerfs. La faim me rend nerveuse. Et si une réunion se prolonge alors que l'heure du repas a sonné (j'aime manger à heures régulières), j'ai du mal à me concentrer. Manger moins, c'est comme fumer moins, ça peut rendre irritable. L'alimentation light de cette semaine va-t-elle me mettre les nerfs en pelote ?
J'ai pris dès le départ le contre-pied. J'ai décidé de sourire exagérément, pour ne pas dire à tout bout de champs. Je refuse de commenter mon ressenti (ces pages sont là pour m'en dispenser). S'entraîner à avoir l'humeur belle invariablement est un effort qui monopolise votre attention dès que vous quittez des yeux votre écran. Ça occupe donc ça vous empêche de penser à autre chose (suivez ma pensée…).
Autre initiative dont je me félicite, je bouge plus que d'habitude. Question d'annihiler toute nervosité rampante. Et accessoirement d'ajouter du muscle là où la graisse va fondre, ou a déjà fondu. 20 minutes de marche après le déjeuner et le soir la distance de 2 stations de métro à pied, et qui plus est, la tête haute et le ventre rentré. Vous n'allez pas me croire mais le poids que j'imagine perdu, c'est comme un sac à provision que l'on porte et qui est délesté petit à petit de sa charge. On gagne en légèreté.
> pourquoi moi ?
> les jours d'avant
> lundi - bonjour régime, adieu bombance
> mardi - bouger et sourire
> mercredi - 1ers résultats
> jeudi - il faut tenir
> vendredi, samedi, dimanche - et maintenant…
< retour introduction…