"Pour moi, la dépendance affective, c'est comme le cholestérol. Il y a la bonne et la mauvaise"
Les interventions des participants :
Marina - Pour moi, la dépendance affective, c'est comme le cholestérol. Il y a la bonne et la mauvaise.
La mauvaise, c'est quant on est attaché à quelqu'un qui lui ne l'est pas. Si les 2 le sont, une négociation est possible. La dépendance peut avoir du bon. S'il n'y en a pas, il n'y a pas de pérénité.
Pour moi, il y a 3 types de dépendance, celle du corps, celle de la pensée et la dépendance matérielle.
Je fais quoi quand quelqu'un ne vaut pas la peine que je reste avec lui ? Mes recettes : en parler à tout le monde et quelqu'un finira par le lui dire, lui écrire (la dernière fois, j'ai écris 600 pages), écouter les autres, lire tout ce qui s'y rapporte, se faire aider, faire du sport, du chant ou du social...
Gérard - Il faut un minimum de dépendance dans une relation.
Si elle est gérée avec amour, ça se passe bien. La mauvaise dépendance, beaucoup en sont victimes. Ça peut provenir de la croyance qu'on n'est pas digne d'être aimé. Chacun a sa solution personnelle : être capable de l'exprimer par le corps ; savoir regarder en face ses défauts liés à ses souffrances ; et enfin, agir comme si je n'avais pas de dépendance.
Nadine - Pour moi, la dépendance affective n'est pas la même que les autres dépendances (au sexe, à la nourriture), parce qu'on ne peut pas être sevrée d'amour.
Si je vis une dépendance intellectuelle, sexuelle, financière ou affective au sein de mon couple, l'autre me sert de béquille. Je pense que l'on peut guérir de la dépendance affective en apprenant à s'aimer sincèrement soi-même.
Marina - Pour moi, la dépendance affective, c'est comme le cholestérol. Il y a la bonne et la mauvaise.
La mauvaise, c'est quant on est attaché à quelqu'un qui lui ne l'est pas. Si les 2 le sont, une négociation est possible. La dépendance peut avoir du bon. S'il n'y en a pas, il n'y a pas de pérénité.
Pour moi, il y a 3 types de dépendance, celle du corps, celle de la pensée et la dépendance matérielle.
Je fais quoi quand quelqu'un ne vaut pas la peine que je reste avec lui ? Mes recettes : en parler à tout le monde et quelqu'un finira par le lui dire, lui écrire (la dernière fois, j'ai écris 600 pages), écouter les autres, lire tout ce qui s'y rapporte, se faire aider, faire du sport, du chant ou du social...
Gérard - Il faut un minimum de dépendance dans une relation.
Si elle est gérée avec amour, ça se passe bien. La mauvaise dépendance, beaucoup en sont victimes. Ça peut provenir de la croyance qu'on n'est pas digne d'être aimé. Chacun a sa solution personnelle : être capable de l'exprimer par le corps ; savoir regarder en face ses défauts liés à ses souffrances ; et enfin, agir comme si je n'avais pas de dépendance.
Nadine - Pour moi, la dépendance affective n'est pas la même que les autres dépendances (au sexe, à la nourriture), parce qu'on ne peut pas être sevrée d'amour.
Si je vis une dépendance intellectuelle, sexuelle, financière ou affective au sein de mon couple, l'autre me sert de béquille. Je pense que l'on peut guérir de la dépendance affective en apprenant à s'aimer sincèrement soi-même.