4/_Coaching mental pour maigrir
Pour ancrer la motivation, les images mentales et les techniques de motivation éprouvées sont utiles. S’imaginer avec du poids en moins, en train d’effectuer une activité nouvelle ou de reprendre une activité abandonnée, afficher à un endroit stratégique une photo de soi plus mince, peuvent jouer un rôle bénéfique à ne pas négliger.
"On ne peut atteindre que ce que l’on voit clairement dans sa tête, souligne le Dr Maurice Larocque. Si l’on ne veut rien, on n’atteint rien."
L’objectif d’une silhouette amincie en ligne de mire, la volonté entretenue par des phrases clés "je le veux, donc je le peux" et quelques modifications de ses règles alimentaires, pas d’abstinence - la prise régulière de repas est importante – mais de la modération, peuvent faire la différence.
"On ne peut atteindre que ce que l’on voit clairement dans sa tête, souligne le Dr Maurice Larocque. Si l’on ne veut rien, on n’atteint rien."
L’objectif d’une silhouette amincie en ligne de mire, la volonté entretenue par des phrases clés "je le veux, donc je le peux" et quelques modifications de ses règles alimentaires, pas d’abstinence - la prise régulière de repas est importante – mais de la modération, peuvent faire la différence.
_la psychologie de l’échec
Les blocages psychologiques sont souvent à l’origine de l’abandon d’un régime. Ils peuvent être de plusieurs ordres. Les identifier, c’est déjà les résoudre à moitié.
Parmi eux, citons le manque de confiance en sa capacité de maîtriser son addiction alimentaire, des images négatives associées à la minceur : paraître plus âgée, avoir la peau plus ridée, jusqu’à la peur inconsciente pour certaines de susciter le désir sexuel en étant mince et de réveiller des envies endormies.
Ces "idées noires" prennent le pas sur la santé alors que l’excès de poids est bien plus néfaste pour l’organisme et diminue grandement les capacités physiques autant que la souplesse.
Être "privée de souffle, d’énergie, d’apparence, de sorties, de satisfaction personnelle, de jeunesse, c’est beaucoup de privation pour un morceau de gâteau" estime le Dr Larocque. Et qui penserait à le contredire ? Il poursuit "A tout problème, il y a une solution, engraisser n’en est jamais une."
Dépasser ses blocages, c’est aussi avoir toujours à l’esprit les avantages liés à la réussite de son projet. Ils aident à conserver la motivation nécessaire à la poursuite de ses efforts.
Parmi eux, citons le manque de confiance en sa capacité de maîtriser son addiction alimentaire, des images négatives associées à la minceur : paraître plus âgée, avoir la peau plus ridée, jusqu’à la peur inconsciente pour certaines de susciter le désir sexuel en étant mince et de réveiller des envies endormies.
Ces "idées noires" prennent le pas sur la santé alors que l’excès de poids est bien plus néfaste pour l’organisme et diminue grandement les capacités physiques autant que la souplesse.
Être "privée de souffle, d’énergie, d’apparence, de sorties, de satisfaction personnelle, de jeunesse, c’est beaucoup de privation pour un morceau de gâteau" estime le Dr Larocque. Et qui penserait à le contredire ? Il poursuit "A tout problème, il y a une solution, engraisser n’en est jamais une."
Dépasser ses blocages, c’est aussi avoir toujours à l’esprit les avantages liés à la réussite de son projet. Ils aident à conserver la motivation nécessaire à la poursuite de ses efforts.
_la psychologie du régime réussi
Dissocier la frustration, ou le besoin de compensation, de la prise alimentaire est un préalable.
Il est nécessaire alors de dévier son énergie vers d’autres plaisirs valorisants. Etablir de nouvelles valeurs, travailler l’estime de soi indépendamment des kilos qui épargnent une remise en question.
Lutter contre la culpabilité en cas d’écart est aussi important car elle conduit au découragement et au renoncement. Il est préférable d’observer plutôt ces phases de reprise de poids pour apprendre à mieux se connaître et faire évoluer son comportement en période de crise.
Le Dr Larocque conseille de se répéter tous les jours : j’ai le droit de tricher mais pas de lâcher. "Personne n’est parfait, concède-t-il, et en période de diète, on peut s’octroyer l’autorisation de craquer, du moment que cet écart est pris pour ce qu’il est, c’est-à-dire un petit détour sur le chemin du succès."
Pour le relâchement de la peau que l’on redoute, considérer plutôt que l’obésité entraîne une boursouflure du corps et qu’après la perte de poids, l’enveloppe corporelle reprendra son aspect normal. Sans compter le regain de vitalité, l’allure plus dynamique, la jeunesse de la démarche, les tenues vestimentaires plus seyantes.
Adieu les bourrelets, l’estomac gonflé, les jambes enflées. "C’est l’obésité qui rend malade, qui fait vieillir prématurément, pas son traitement", souligne le Dr Maurice Larocque. Et d’encourager les candidates à la minceur à ne pas se décourager. "Ça prend plusieurs années pour (re)devenir jeune."
SOMMAIRE
1 – Le poids et le mental
Améliorer son image mentale
2 – Le bon équilibre calorique
Les automatismes au banc des accusés
3 - Les lois de la motivation
Les kilos comme auto-punition
4 - Coaching mental pour maigrir
Psychologie de l’échec
Psychologie du régime réussi
5 – Les 7 règles d’or du Dr Larocque
< retour introduction
Il est nécessaire alors de dévier son énergie vers d’autres plaisirs valorisants. Etablir de nouvelles valeurs, travailler l’estime de soi indépendamment des kilos qui épargnent une remise en question.
Lutter contre la culpabilité en cas d’écart est aussi important car elle conduit au découragement et au renoncement. Il est préférable d’observer plutôt ces phases de reprise de poids pour apprendre à mieux se connaître et faire évoluer son comportement en période de crise.
Le Dr Larocque conseille de se répéter tous les jours : j’ai le droit de tricher mais pas de lâcher. "Personne n’est parfait, concède-t-il, et en période de diète, on peut s’octroyer l’autorisation de craquer, du moment que cet écart est pris pour ce qu’il est, c’est-à-dire un petit détour sur le chemin du succès."
Pour le relâchement de la peau que l’on redoute, considérer plutôt que l’obésité entraîne une boursouflure du corps et qu’après la perte de poids, l’enveloppe corporelle reprendra son aspect normal. Sans compter le regain de vitalité, l’allure plus dynamique, la jeunesse de la démarche, les tenues vestimentaires plus seyantes.
Adieu les bourrelets, l’estomac gonflé, les jambes enflées. "C’est l’obésité qui rend malade, qui fait vieillir prématurément, pas son traitement", souligne le Dr Maurice Larocque. Et d’encourager les candidates à la minceur à ne pas se décourager. "Ça prend plusieurs années pour (re)devenir jeune."
SOMMAIRE
1 – Le poids et le mental
Améliorer son image mentale
2 – Le bon équilibre calorique
Les automatismes au banc des accusés
3 - Les lois de la motivation
Les kilos comme auto-punition
4 - Coaching mental pour maigrir
Psychologie de l’échec
Psychologie du régime réussi
5 – Les 7 règles d’or du Dr Larocque
< retour introduction
VRAI/FAUX - L’obésité est génétique.
FAUX Les cas d’obésité résultant de la génétique sont très rares. Mais l’obésité peut aussi résulter d’un conditionnement familial et de mauvaises habitudes alimentaires récurrentes qui se transmettent des parents aux enfants. |