_à injecter avec modération
On peut le regretter mais il y a des praticiens du comblement et des injections qui semblent avoir perdu tout esprit critique quant aux résultats de leurs interventions.
Les injections de Botox et d’acide hyaluronique ont pour vocation de lisser les marques du temps et de redonner le relief de la jeunesse aux visages traités. Mais manifestement, les notions de visible artifice, de perte de mobilité et d’excès paraissent parfois ne pas entrer en ligne de compte.
Certains médecins pourraient même avoir l’ambition de faire de ces visages remodelés qu’ils façonnent les nouveaux "canons de la beauté" des femmes mûres. Question de s’assurer une clientèle toujours plus large se déversant dans leur cabinet en un flux inépuisable.
Car ces techniques, au départ moins intrusives, sont aussi infiniment plus lucratives : de 1 000 à 1 500 euros par an pour 2 séances complètes d’injections espacées de six mois.
Et finalement, cette volonté de plus en plus répandue de conserver à son visage une éternelle jeunesse peut avoir des conséquences inattendues sur le monde qui nous entoure : la disparition de nos contrées des visages ravinés de nos grands-mères et l'apparition d'un nouvel âge de la vie, qui commence autour de cinquante ans et se pare de ces nouvelles physionomies ("bouche de canard", regard inexpressif, sourcils exagérément arc-boutés...) jusque là inconnues.
Verra-t-on un jour l’affichage obligatoire de cet avertissement sur le conditionnement des produits à injecter et dans les salles d’attente des spécialistes : l’abus d’injections nuit à la beauté ?
< retour introduction refus de vieillir et traitements esthétiques
Les injections de Botox et d’acide hyaluronique ont pour vocation de lisser les marques du temps et de redonner le relief de la jeunesse aux visages traités. Mais manifestement, les notions de visible artifice, de perte de mobilité et d’excès paraissent parfois ne pas entrer en ligne de compte.
Certains médecins pourraient même avoir l’ambition de faire de ces visages remodelés qu’ils façonnent les nouveaux "canons de la beauté" des femmes mûres. Question de s’assurer une clientèle toujours plus large se déversant dans leur cabinet en un flux inépuisable.
Car ces techniques, au départ moins intrusives, sont aussi infiniment plus lucratives : de 1 000 à 1 500 euros par an pour 2 séances complètes d’injections espacées de six mois.
Et finalement, cette volonté de plus en plus répandue de conserver à son visage une éternelle jeunesse peut avoir des conséquences inattendues sur le monde qui nous entoure : la disparition de nos contrées des visages ravinés de nos grands-mères et l'apparition d'un nouvel âge de la vie, qui commence autour de cinquante ans et se pare de ces nouvelles physionomies ("bouche de canard", regard inexpressif, sourcils exagérément arc-boutés...) jusque là inconnues.
Verra-t-on un jour l’affichage obligatoire de cet avertissement sur le conditionnement des produits à injecter et dans les salles d’attente des spécialistes : l’abus d’injections nuit à la beauté ?
< retour introduction refus de vieillir et traitements esthétiques