Katherine Heigl et Lucian Mcafee dans 'Working Love'
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>>> VOIR la bande-annonce de 'Working Love'
Une comédie romantique qui fait autant réfléchir que rêver, on en redemande.
Katherine Heigl dont la notoriété a explosé avec son interprétation d'Izzie Stevens dans la série Grey’s Anatomy, tient le rôle vedette de Working Love qu'elle a contribué à produire.
Karly (Katherine Heigl) est à la recherche d’un emploi. Elle accepte un poste de visiteuse médicale sans envie particulière d’occuper une telle fonction. Mais il y a le salaire, convaincant, et cette étincelante grosse cylindrée de fonction qui remplacera avantageusement sa vieille voiture.
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Une comédie romantique qui fait autant réfléchir que rêver, on en redemande.
Katherine Heigl dont la notoriété a explosé avec son interprétation d'Izzie Stevens dans la série Grey’s Anatomy, tient le rôle vedette de Working Love qu'elle a contribué à produire.
Karly (Katherine Heigl) est à la recherche d’un emploi. Elle accepte un poste de visiteuse médicale sans envie particulière d’occuper une telle fonction. Mais il y a le salaire, convaincant, et cette étincelante grosse cylindrée de fonction qui remplacera avantageusement sa vieille voiture.
Katherine Heigl et Lucian Mcafee dans 'Working Love'
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Côté boulot, c’est ok. Reste à trouver l’amour.
Pas question d’entamer une relation sentimentale avec un collègue de travail. Mais Zach (Lucian Mcafee), dont elle tombe amoureuse, a décidé rapidement de quitter son poste, refusant de contribuer à faire vendre des médicaments dont des études révèlent certains risques.
Pour démissionner et partir vivre une nouvelle vie avec lui dans la maison perdue dans la nature qu’il décide de construire de ses mains, la jeune femme se donne 180 jours. Et c’est parti pour un compte à rebours plein de rebondissements.
Car Karly se révèle une vendeuse hors pair. Les gros chèques et les cadeaux du laboratoire qui l’emploie commencent à pleuvoir. Sa supérieure devient sa meilleure guide de shopping.
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Côté boulot, c’est ok. Reste à trouver l’amour.
Pas question d’entamer une relation sentimentale avec un collègue de travail. Mais Zach (Lucian Mcafee), dont elle tombe amoureuse, a décidé rapidement de quitter son poste, refusant de contribuer à faire vendre des médicaments dont des études révèlent certains risques.
Pour démissionner et partir vivre une nouvelle vie avec lui dans la maison perdue dans la nature qu’il décide de construire de ses mains, la jeune femme se donne 180 jours. Et c’est parti pour un compte à rebours plein de rebondissements.
Car Karly se révèle une vendeuse hors pair. Les gros chèques et les cadeaux du laboratoire qui l’emploie commencent à pleuvoir. Sa supérieure devient sa meilleure guide de shopping.
Katherine Heigl dans 'Working Love'
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Pourra-t-elle quitter ce job qui lui apporte tant de satisfactions pour rejoindre Zach et vivre loin de la ville, du luxe et de ses tentations ?
Working Love, écrit et réalisé par Kathleen Slattery-Moschkau, tisse les fils d’une intrigue sentimentale sur une trame de scandale médical que l’on cherche à étouffer. Le titre original du film "Side Effects" peut se traduire par "Effets secondaires".
Employée dix ans comme visiteuse médicale, la réalisatrice prenait des notes pendant son activité professionnelle. C’est à partir de ces observations qu’elle a écrit le scénario du film.
Son sens de la formule choc contribue à rendre la gravité du sujet divertissante pour mieux alerter les consciences.
"Croisons les doigts pour une augmentation des troubles respiratoires. Vive les pneumonies et les sinusites aigües" assène un responsable commercial lors d’une réunion qui précède le lancement d’un nouveau médicament destiné à traiter ces infections.
"Au dernier lancement de ce genre, j’ai acheté ma maison avec la commission" déclare une chargée des ventes.
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Pourra-t-elle quitter ce job qui lui apporte tant de satisfactions pour rejoindre Zach et vivre loin de la ville, du luxe et de ses tentations ?
Working Love, écrit et réalisé par Kathleen Slattery-Moschkau, tisse les fils d’une intrigue sentimentale sur une trame de scandale médical que l’on cherche à étouffer. Le titre original du film "Side Effects" peut se traduire par "Effets secondaires".
Employée dix ans comme visiteuse médicale, la réalisatrice prenait des notes pendant son activité professionnelle. C’est à partir de ces observations qu’elle a écrit le scénario du film.
Son sens de la formule choc contribue à rendre la gravité du sujet divertissante pour mieux alerter les consciences.
"Croisons les doigts pour une augmentation des troubles respiratoires. Vive les pneumonies et les sinusites aigües" assène un responsable commercial lors d’une réunion qui précède le lancement d’un nouveau médicament destiné à traiter ces infections.
"Au dernier lancement de ce genre, j’ai acheté ma maison avec la commission" déclare une chargée des ventes.
Katherine Heigl et Lucian Mcafee dans 'Working Love'
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Les réponses des médecins, interrogés sur l’intérêt des visiteurs médicaux dans de courtes séquences qui ponctuent le film donnent un aperçu de l’ambiguïté du rôle de ces informateurs au sein du milieu médical.
Le film n’a pas été facile à monter. Il a été tourné en 16 jours avec un budget de moins de 150 000 euros. De son côté, l’industrie pharmaceutique dépense en moyenne près de 20 milliards d’euros en publicité pour ses produits, rappelle un cartel avant le générique de fin.
A sa sortie en 2005 aux USA, le film a remporté un franc succès. Kathleen Slattery-Moschkau est devenue une référence au sein des médias pour certaines questions portant sur le monde médical.
Elle a réalisé en 2006 un autre documentaire critique sur les grands laboratoires pharmaceutiques "Money Talks: Profits Before Patient Safety" (L'argent a la parole : les bénéfices avant la sécurité des patients). Elle anime une émission hebdomadaire à la radio, The Kathleen Show et son blog est très actif.
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Les réponses des médecins, interrogés sur l’intérêt des visiteurs médicaux dans de courtes séquences qui ponctuent le film donnent un aperçu de l’ambiguïté du rôle de ces informateurs au sein du milieu médical.
Le film n’a pas été facile à monter. Il a été tourné en 16 jours avec un budget de moins de 150 000 euros. De son côté, l’industrie pharmaceutique dépense en moyenne près de 20 milliards d’euros en publicité pour ses produits, rappelle un cartel avant le générique de fin.
A sa sortie en 2005 aux USA, le film a remporté un franc succès. Kathleen Slattery-Moschkau est devenue une référence au sein des médias pour certaines questions portant sur le monde médical.
Elle a réalisé en 2006 un autre documentaire critique sur les grands laboratoires pharmaceutiques "Money Talks: Profits Before Patient Safety" (L'argent a la parole : les bénéfices avant la sécurité des patients). Elle anime une émission hebdomadaire à la radio, The Kathleen Show et son blog est très actif.
Working Love
avec Katherine Heigl (Karly) et Lucian Mcafee (Zach), écrit et réalisé par Kathleen Slattery-Moschkau
Durée 1h30'
16,98 €
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avec Katherine Heigl (Karly) et Lucian Mcafee (Zach), écrit et réalisé par Kathleen Slattery-Moschkau
Durée 1h30'
16,98 €
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