Félix - Pour moi, ça se passe beaucoup plus au niveau physique. Je parle aux gens quand je les ai déjà rencontrés physiquement. Avant de communiquer, cela se passe beaucoup plus instinctivement. Il n'y a pas de plans. Je fais très attention à garder mon espace de liberté. La fusion ne m'intéresse pas non plus. Que l'autre ne puisse pas exister sans moi ne m'intéresse pas. Si je dois me déclarer, c'est que ça n'existe pas. Si ça n'existe pas, c'est qu'on ne s'est pas compris. Quand je rencontre quelqu'un, c'est pour partager le futur, voir les possibilités pour l'avenir.
Fabienne - Dans les relations, il y a deux choses : le physique et le mental, et une alchimie autour, une ambiance. Il peut y avoir plein de choses qui suscitent le désir. Il n'y a pas de différence entre les hommes et les femmes. La seule différence est dans l'acte physique, la pénétration. Puis le désir, c'est aux femmes de le construire.
John - Moi, j'ai vite tendance à m'emballer. Je mets la femme sur un piédestal. Aujourd'hui, je fais attention à moi, je réapprends le B.A.-BA. Je suis un peu en situation d'observation. Je constate que face aux valeurs féminines montantes, on a plus de mal à les appréhender.
Sybile - C'est moi qui ai fait ma déclaration à l'homme de ma vie, avec lequel j'ai eu ma fille. J'avais vingt ans, lui sept de plus. Au bout de quinze jours, il ne se passait toujours rien alors je lui ai dit : j'ai envie de faire l'amour avec toi. Il n'a pas répondu. J'ai répété. Ce n'était pas facile. Il n'a toujours rien dit, mais il a remit le contact et on est reparti.
Si j'étais un homme… je ferai ça (elle embrasse son voisin dans le cou).
Félicia - Je crois que dans la séduction, j'ai envie de créativité, qu'on me surprenne. Autre chose que : t'as de beaux yeux… Que l'on glisse un caillou avec un message que l'on a préparé. Une fille m'a raconté que pour la séduire, on lui avait offert une fourmi. J'ai trouvé ça génial parce que c'était surprenant. Ce qui m'a séduite un jour, c'est quelqu'un qui m'a proposé de danser ? Je n'en avais pas envie, et il m'a dit : alors dansons en fermant les yeux.
Si j'étais un homme, j'essayerais de trouver des idées pour la surprendre.
Benoît - Je suis très surpris de vous entendre. Votre distance face à nos demandes. Alors vous aimeriez que l'on vous surprenne ! Je ne comprends pas pourquoi vous ne remarquez pas un homme qui s'approche de vous. Aujourd'hui, on dit qu'il n'y a plus de parade mais vous êtes extrêmement fermées. Pourquoi ne dites-vous pas : étonne-moi ! Pour moi, vous êtes des citadelles imprenables - Jean-Luc intervient : Ce sont des Parisiennes, dans le sud, elles ne sont pas comme ça. - Quand on sortira d'ici, malheureusement, ça va continuer. Je ne comprends pas pourquoi les femmes n'émettent pas plus de signaux pour qu'on les comprenne.
•••> suite des réponses des participants
Fabienne - Dans les relations, il y a deux choses : le physique et le mental, et une alchimie autour, une ambiance. Il peut y avoir plein de choses qui suscitent le désir. Il n'y a pas de différence entre les hommes et les femmes. La seule différence est dans l'acte physique, la pénétration. Puis le désir, c'est aux femmes de le construire.
John - Moi, j'ai vite tendance à m'emballer. Je mets la femme sur un piédestal. Aujourd'hui, je fais attention à moi, je réapprends le B.A.-BA. Je suis un peu en situation d'observation. Je constate que face aux valeurs féminines montantes, on a plus de mal à les appréhender.
Sybile - C'est moi qui ai fait ma déclaration à l'homme de ma vie, avec lequel j'ai eu ma fille. J'avais vingt ans, lui sept de plus. Au bout de quinze jours, il ne se passait toujours rien alors je lui ai dit : j'ai envie de faire l'amour avec toi. Il n'a pas répondu. J'ai répété. Ce n'était pas facile. Il n'a toujours rien dit, mais il a remit le contact et on est reparti.
Si j'étais un homme… je ferai ça (elle embrasse son voisin dans le cou).
Félicia - Je crois que dans la séduction, j'ai envie de créativité, qu'on me surprenne. Autre chose que : t'as de beaux yeux… Que l'on glisse un caillou avec un message que l'on a préparé. Une fille m'a raconté que pour la séduire, on lui avait offert une fourmi. J'ai trouvé ça génial parce que c'était surprenant. Ce qui m'a séduite un jour, c'est quelqu'un qui m'a proposé de danser ? Je n'en avais pas envie, et il m'a dit : alors dansons en fermant les yeux.
Si j'étais un homme, j'essayerais de trouver des idées pour la surprendre.
Benoît - Je suis très surpris de vous entendre. Votre distance face à nos demandes. Alors vous aimeriez que l'on vous surprenne ! Je ne comprends pas pourquoi vous ne remarquez pas un homme qui s'approche de vous. Aujourd'hui, on dit qu'il n'y a plus de parade mais vous êtes extrêmement fermées. Pourquoi ne dites-vous pas : étonne-moi ! Pour moi, vous êtes des citadelles imprenables - Jean-Luc intervient : Ce sont des Parisiennes, dans le sud, elles ne sont pas comme ça. - Quand on sortira d'ici, malheureusement, ça va continuer. Je ne comprends pas pourquoi les femmes n'émettent pas plus de signaux pour qu'on les comprenne.
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