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les impostures visuelles Koziel recréent le monde en 2D
Christophe Koziel
Quand on est amoureux des beaux meubles et des antiquités et que l’on a, à l'origine, pour métier de décorer des vitrines des magasins avec un budget pour le moins limité, on doit faire preuve de créativité. La solution trouvée par Christophe Koziel, c’est la reproduction sur du PVC de tous les objets rêvés qu’il avait envie d’exposer.
Cette expertise acquise dans l'exercice de son métier, il a eu l’idée en 2006, d’en faire profiter le grand public. Et sa production a un succès fou. Il a révolutionné l’art du trompe-l’œil au point de lui inventer un nouveau nom : les impostures visuelles.
L‘esprit de son entreprise, c’est une théâtralisation des intérieurs au quotidien qui autorise tous les effets : un cadre Louis XV à moulures – le best seller de la marque, produit aujourd’hui en 12 tailles et 12 coloris – à suspendre, une fausse bibliothèque en papier peint, ou encore un chiot allongé à poser contre un mur ou, plus incongru, entre 2 piles de livres sur une étagère (voir le décor dans nos pages shopping ).
Quand on est amoureux des beaux meubles et des antiquités et que l’on a, à l'origine, pour métier de décorer des vitrines des magasins avec un budget pour le moins limité, on doit faire preuve de créativité. La solution trouvée par Christophe Koziel, c’est la reproduction sur du PVC de tous les objets rêvés qu’il avait envie d’exposer.
Cette expertise acquise dans l'exercice de son métier, il a eu l’idée en 2006, d’en faire profiter le grand public. Et sa production a un succès fou. Il a révolutionné l’art du trompe-l’œil au point de lui inventer un nouveau nom : les impostures visuelles.
L‘esprit de son entreprise, c’est une théâtralisation des intérieurs au quotidien qui autorise tous les effets : un cadre Louis XV à moulures – le best seller de la marque, produit aujourd’hui en 12 tailles et 12 coloris – à suspendre, une fausse bibliothèque en papier peint, ou encore un chiot allongé à poser contre un mur ou, plus incongru, entre 2 piles de livres sur une étagère (voir le décor dans nos pages shopping ).
Livres en trompe-l'oeil
L‘impression numérique autorise tous les détournements. Elle a donné un coup de jeune à l’idée de kitch et de désuétude que peuvent inspirer les trompe-l’œil.
Mais Christophe Koziel va plus loin dans la supercherie. Grâce aux recherches qu’il mène avec son équipe dans ses ateliers de Lille où sont produites ses étonnantes créations, il ajoute une dimension supplémentaire à ses meubles et objets plats. Ainsi par exemple, ses reproductions de commodes sont assorties de poignées en relief et son papier mural à capitons s’habille de véritables boutons.
Il travaille également sur le rendu de la matière avec le revêtement des surfaces pour que la tromperie visuelle soit démentie par le toucher. S’il s’amuse du traitement détourné de la réalité, Christophe Koziel s’appuie sur un principe : il faut conserver les défauts. L’usure, les accrocs, les griffures ne sont pas gommés parce qu’ils signent l’authenticité, le vécu des éléments photographiés.
Par la technique numérique, tout peut être reproduit en deux dimensions et la petite entreprise en pleine expansion de Christophe Koziel réserve encore bien des surprises. Chaque semaine, il ajoute une nouveauté dans sa boutique en ligne.
www.koziel.fr
L‘impression numérique autorise tous les détournements. Elle a donné un coup de jeune à l’idée de kitch et de désuétude que peuvent inspirer les trompe-l’œil.
Mais Christophe Koziel va plus loin dans la supercherie. Grâce aux recherches qu’il mène avec son équipe dans ses ateliers de Lille où sont produites ses étonnantes créations, il ajoute une dimension supplémentaire à ses meubles et objets plats. Ainsi par exemple, ses reproductions de commodes sont assorties de poignées en relief et son papier mural à capitons s’habille de véritables boutons.
Il travaille également sur le rendu de la matière avec le revêtement des surfaces pour que la tromperie visuelle soit démentie par le toucher. S’il s’amuse du traitement détourné de la réalité, Christophe Koziel s’appuie sur un principe : il faut conserver les défauts. L’usure, les accrocs, les griffures ne sont pas gommés parce qu’ils signent l’authenticité, le vécu des éléments photographiés.
Par la technique numérique, tout peut être reproduit en deux dimensions et la petite entreprise en pleine expansion de Christophe Koziel réserve encore bien des surprises. Chaque semaine, il ajoute une nouveauté dans sa boutique en ligne.
www.koziel.fr
Tabouret effet capitons en carton.
