L’orgasme, comme un éclair
Quel que soit le lieu qu'ils ont implicitement choisi, ils viennent de basculer dans la phase "coïtale" qui échappe finalement au contrôle de la volonté.
Tels des éclairs, des trains d'ondes électro-physiologiques parcourent de plus en plus fréquemment la "matière grise" de ces deux êtres qui se touchent, s'étreignent, se caressent, s'excitent selon leurs goûts (tactiles, auditifs, olfactifs, gustatifs,…).
Parallèlement, leurs pensées deviennent de plus en enivrantes, excitantes, et ainsi jusqu'au déclenchement de l'orgasme.
C'est pendant cette période que les râles, les mots prononcés, les postures choisies, qui contribuent à atteindre l'orgasme, peuvent être en contradiction flagrante avec le référentiel habituel des partenaires. C'est une période propice au passage à l'acte transgressif en termes de sexualité.
Tels des éclairs, des trains d'ondes électro-physiologiques parcourent de plus en plus fréquemment la "matière grise" de ces deux êtres qui se touchent, s'étreignent, se caressent, s'excitent selon leurs goûts (tactiles, auditifs, olfactifs, gustatifs,…).
Parallèlement, leurs pensées deviennent de plus en enivrantes, excitantes, et ainsi jusqu'au déclenchement de l'orgasme.
C'est pendant cette période que les râles, les mots prononcés, les postures choisies, qui contribuent à atteindre l'orgasme, peuvent être en contradiction flagrante avec le référentiel habituel des partenaires. C'est une période propice au passage à l'acte transgressif en termes de sexualité.
Les spasmes du plaisir
Au moment précis de l'orgasme, il est possible de constater que l'activité électro-physiologique de fond de la "matière grise" fait place à des décharges électriques anarchiques violentes qui abolissent parfois la conscience, se manifestent souvent par des convulsions et des spasmes périnéaux et s'accompagnent d'un sentiment de plaisir intense suivi d'une sensation de bien-être extrême.
Plus ou moins rapidement l'épuisement s'estompe, l'euphorie perdure et, selon la permissivité des deux partenaires, la phase "érotique" se réenclenche pour un nouveau cycle qui aboutira, ou non, à un nouvel orgasme et ainsi de suite jusqu'à épuisement physique ou fantasmatique.
Dans l'approche neuro-psycho-pharmacologique, la pensée est tout aussi importante que la biologie pour créer de l'érotisme et aboutir à l'orgasme.
D'après "Le désir, l'amour et l'orgasme sont-ils liés ?" du Dr Jan-Cédric Hansen, Neuro-psycho-pharmacologiste.
< RETOUR 'Le désir, l'amour et l'orgasme sont-ils liés ?'
Plus ou moins rapidement l'épuisement s'estompe, l'euphorie perdure et, selon la permissivité des deux partenaires, la phase "érotique" se réenclenche pour un nouveau cycle qui aboutira, ou non, à un nouvel orgasme et ainsi de suite jusqu'à épuisement physique ou fantasmatique.
Dans l'approche neuro-psycho-pharmacologique, la pensée est tout aussi importante que la biologie pour créer de l'érotisme et aboutir à l'orgasme.
D'après "Le désir, l'amour et l'orgasme sont-ils liés ?" du Dr Jan-Cédric Hansen, Neuro-psycho-pharmacologiste.
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