Il est difficile d’appliquer des schémas aux êtres humains
Léonard • Moi, je suis très content d’être venu. Je n’avais aucune méthode rationnelle pour gérer mes relations avec les autres. Donc je vais afficher le plan dans ma chambre.
Mais j’ai l’impression d’un schéma de l’ex-URSS, bien rationalisé. Sauf qu’ils avaient oublié l’essentiel, c’est qu’il est difficile d’appliquer des schémas aux êtres humains.
Le plus compliqué, c’est de savoir qui je suis. J’ai vécu une vie de couple pendant douze ans. Ma compagne a compris après dix ans de psychanalyse qu’on n’avait rien à faire ensemble. Alors à l’heure du "speed dating", mieux vaut venir avec son certificat de psychanalyse. Moi, je préfère toujours faire confiance à mes impressions et puis foncer.
Mais j’ai l’impression d’un schéma de l’ex-URSS, bien rationalisé. Sauf qu’ils avaient oublié l’essentiel, c’est qu’il est difficile d’appliquer des schémas aux êtres humains.
Le plus compliqué, c’est de savoir qui je suis. J’ai vécu une vie de couple pendant douze ans. Ma compagne a compris après dix ans de psychanalyse qu’on n’avait rien à faire ensemble. Alors à l’heure du "speed dating", mieux vaut venir avec son certificat de psychanalyse. Moi, je préfère toujours faire confiance à mes impressions et puis foncer.
Estelle • Je pense que dans la vie, tout est possible. Chaque rencontre est unique. Toutes mes histoires ont eu une fin mais je pense que les échecs finalement nous grandissent, quand on arrive à faire le deuil nécessaire.
Je crois que dans la vie, la question est de rencontrer l’autre au bon moment. Il faut que chacun soit en phase avec ses envies. Le cercle peut aider à se poser les bonnes questions.
Dominique • On dit que la chose la plus importante c’est de se connaître soi-même. Mais le plus important, c’est surtout de se connaître l’un l’autre.
Depuis six ans, avec ma compagne, je rencontre beaucoup de difficultés. Nous vivons des phases de rupture et de réconciliation. On cherche toujours le lien qui nous unit à travers un projet et on butte en permanence. On a vaguement un projet mais on n’est pas capable de le suivre longtemps.
À un moment, on se sent oppressés, en perte d’autonomie et on repart vers des activités différentes. On a envie de communiquer mais il y a toujours ces difficultés à trouver le bon rapport entre le lien et l’autonomie.
Damien • Pour répondre à la question "Pourquoi ça n’a pas marché ?", pour ma part, la raison c'est que j’avais pris un mauvais départ. Il est difficile pour moi de vivre le quotidien et de construire.
Il m’est arrivé d’avoir une double relation, un double engagement. Avec l’une, j’aurais aimé construire mais l’autre me rendait indisponible tout en ayant des sentiments amoureux. Donc ce fut un double échec mais très instructif.
Pour en revenir au schéma qui suit le modèle Hudson, c’est effectivement un outil qui permet de prendre conscience de sa situation et de savoir où l’on en est.
Félix • Le principe de ce schéma, c’est de savoir que l’on peut progresser. Si on ne fait rien, on régresse. Le tout c’est de savoir à quel moment agir. Aimer vivre dans le présent tout en ayant un projet.
Quand j’ai un projet, que je l’ai planifié, je suis un cheminement. Donc, chaque jour, je suis satisfait. Je prends plaisir à préparer le futur. Je vis le futur au présent.
•> VOIR le schéma des stades du "projet de vie"
<• Retour introduction Un couple peut-il durer sans projet de couple ?
Je crois que dans la vie, la question est de rencontrer l’autre au bon moment. Il faut que chacun soit en phase avec ses envies. Le cercle peut aider à se poser les bonnes questions.
Dominique • On dit que la chose la plus importante c’est de se connaître soi-même. Mais le plus important, c’est surtout de se connaître l’un l’autre.
Depuis six ans, avec ma compagne, je rencontre beaucoup de difficultés. Nous vivons des phases de rupture et de réconciliation. On cherche toujours le lien qui nous unit à travers un projet et on butte en permanence. On a vaguement un projet mais on n’est pas capable de le suivre longtemps.
À un moment, on se sent oppressés, en perte d’autonomie et on repart vers des activités différentes. On a envie de communiquer mais il y a toujours ces difficultés à trouver le bon rapport entre le lien et l’autonomie.
Damien • Pour répondre à la question "Pourquoi ça n’a pas marché ?", pour ma part, la raison c'est que j’avais pris un mauvais départ. Il est difficile pour moi de vivre le quotidien et de construire.
Il m’est arrivé d’avoir une double relation, un double engagement. Avec l’une, j’aurais aimé construire mais l’autre me rendait indisponible tout en ayant des sentiments amoureux. Donc ce fut un double échec mais très instructif.
Pour en revenir au schéma qui suit le modèle Hudson, c’est effectivement un outil qui permet de prendre conscience de sa situation et de savoir où l’on en est.
Félix • Le principe de ce schéma, c’est de savoir que l’on peut progresser. Si on ne fait rien, on régresse. Le tout c’est de savoir à quel moment agir. Aimer vivre dans le présent tout en ayant un projet.
Quand j’ai un projet, que je l’ai planifié, je suis un cheminement. Donc, chaque jour, je suis satisfait. Je prends plaisir à préparer le futur. Je vis le futur au présent.
•> VOIR le schéma des stades du "projet de vie"
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