Les témoignages (suite)
Claude • Je pense qu’on ne peut pas définir la personne qui nous correspond pour la vie. Dans les premiers instants, on peut être attiré mais sans savoir forcément pourquoi. Les scientifiques le savent, le principal c’est la réciprocité.
Si ce n’est pas le cas, on peut aller vers des déceptions terribles, se mettre en danger et se perdre.
Il n’y a pas de réponse claire à la question. On est des êtres humains et chacun fonctionne avec son instinct. On peut être prêt à s’investir ou non mais il faut toujours essayer. Si c’est un échec, peut-être qu’à une autre période de la vie, ça marcherait.
Émilie • Personnellement, je n’ai pas reconnu, ou rencontré, LA personne. Mais j’ai arrêté d’attendre le prince charmant. Il faut accueillir l’autre et ne pas chercher à le transformer. Ça c’est acquis. J’ai essayé de ne pas reproduire les mêmes erreurs. Je pense qu’il faut écouter ce qu’on ressent en présence de quelqu’un et se faire confiance.
Jean-Michaël • Pour moi, la question est mal posée. Reconnaître ou pas la femme de sa vie, tout part d’un travail sur soi-même. Soit on va trop vite et on ne prend pas le temps de l’empathie. On a souvent des a priori. Je pense qu’il faut écouter son cœur et ne pas se baser sur le physique mais sur le partage spirituel et la relation se construit dans le temps. On ne devrait rien attendre de l’autre. Par exemple, je suis curieux et je ne pourrai pas vivre avec quelqu’un qui ne l’est pas. Se donner à l’autre, c’est faire des concessions sinon on n’est jamais heureux.
Marie-Anne • Je partage beaucoup de ce qui a été dit. Autant quand j’étais plus jeune, j’étais dans la fusion. Aujourd’hui, je pense qu’on est très heureux à deux si les deux sont heureux seuls.
J’ai eu de belles relations. J’ai été mariée. J’étais très amoureuse de mon mari. Mais on évolue différemment et c’est difficile d’accepter l’évolution de l’autre mais aussi la sienne propre. On a toujours envie de passer sa vie avec quelqu’un dont on a été très amoureuse. C’est important d’avoir une intimité avec quelqu’un avec qui on se sent bien le matin ou bien en visitant une exposition. J’essaie d’avoir le moins de critères possibles et de laisser parler le cœur.
Cyril • Je suis célibataire mais je n’avais pas prévu de l’être. À 4 ans, j’avais rencontré la femme de ma vie. C’était Nancy Sinatra. Quand j’écoutais d’autres chanteuses, j’avais l’impression de la tromper. Le désir pour moi, c’est le premier critère. Si je rencontre chez la personne l’équilibre, j’ai envie de m’occuper d’elle. Après il y a le partage de la vie quotidienne, l’intellect.
Les femmes avec lesquelles j’ai vécu étaient toujours insupportables. Gainsbourg a dit : "Dans un couple, il y en a toujours un qui souffre et un qui s’emmerde". Je suis celui qui s’emmerde.
Pour moi, reconnaître la femme de ma vie, c’est hormonal, c’est la désirer.
<• retour introduction Comment reconnaître l'homme ou la femme de sa vie ?
Si ce n’est pas le cas, on peut aller vers des déceptions terribles, se mettre en danger et se perdre.
Il n’y a pas de réponse claire à la question. On est des êtres humains et chacun fonctionne avec son instinct. On peut être prêt à s’investir ou non mais il faut toujours essayer. Si c’est un échec, peut-être qu’à une autre période de la vie, ça marcherait.
Émilie • Personnellement, je n’ai pas reconnu, ou rencontré, LA personne. Mais j’ai arrêté d’attendre le prince charmant. Il faut accueillir l’autre et ne pas chercher à le transformer. Ça c’est acquis. J’ai essayé de ne pas reproduire les mêmes erreurs. Je pense qu’il faut écouter ce qu’on ressent en présence de quelqu’un et se faire confiance.
Jean-Michaël • Pour moi, la question est mal posée. Reconnaître ou pas la femme de sa vie, tout part d’un travail sur soi-même. Soit on va trop vite et on ne prend pas le temps de l’empathie. On a souvent des a priori. Je pense qu’il faut écouter son cœur et ne pas se baser sur le physique mais sur le partage spirituel et la relation se construit dans le temps. On ne devrait rien attendre de l’autre. Par exemple, je suis curieux et je ne pourrai pas vivre avec quelqu’un qui ne l’est pas. Se donner à l’autre, c’est faire des concessions sinon on n’est jamais heureux.
Marie-Anne • Je partage beaucoup de ce qui a été dit. Autant quand j’étais plus jeune, j’étais dans la fusion. Aujourd’hui, je pense qu’on est très heureux à deux si les deux sont heureux seuls.
J’ai eu de belles relations. J’ai été mariée. J’étais très amoureuse de mon mari. Mais on évolue différemment et c’est difficile d’accepter l’évolution de l’autre mais aussi la sienne propre. On a toujours envie de passer sa vie avec quelqu’un dont on a été très amoureuse. C’est important d’avoir une intimité avec quelqu’un avec qui on se sent bien le matin ou bien en visitant une exposition. J’essaie d’avoir le moins de critères possibles et de laisser parler le cœur.
Cyril • Je suis célibataire mais je n’avais pas prévu de l’être. À 4 ans, j’avais rencontré la femme de ma vie. C’était Nancy Sinatra. Quand j’écoutais d’autres chanteuses, j’avais l’impression de la tromper. Le désir pour moi, c’est le premier critère. Si je rencontre chez la personne l’équilibre, j’ai envie de m’occuper d’elle. Après il y a le partage de la vie quotidienne, l’intellect.
Les femmes avec lesquelles j’ai vécu étaient toujours insupportables. Gainsbourg a dit : "Dans un couple, il y en a toujours un qui souffre et un qui s’emmerde". Je suis celui qui s’emmerde.
Pour moi, reconnaître la femme de ma vie, c’est hormonal, c’est la désirer.
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