Les témoignages (suite)
Béatrice • Je pense qu’il n'y a pas qu'un homme de sa vie mais qu’il en existe plusieurs. Il n’y a pas l’autre moitié de l’orange. J’ai vécu une expérience avec deux hommes qui m’ont beaucoup apporté et ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui.
Ce qui est important, c’est le cheminement. La prochaine relation, pour la reconnaître, il faut écouter ce que dit le corps et être attentive aux signes mais pour les saisir, le plus dur, c’est le lâcher-prise et rester à l’écoute de son corps et de son cœur.
Fabien • J’ai eu une vie sentimentale suffisamment riche parce que mon premier amour, je l’ai rencontré à l’âge de 12 ans et j’ai cru longtemps qu’elle était la femme de ma vie. Puis j’ai rencontré la mère de mes enfants. Après la rupture, j’ai profité de ma liberté. Maintenant je me pose la question : qu’est-ce que je cherche vraiment ? Il n’y a pas d’idéal. On veut juste être accompagné. Les critères doivent être raisonnables. Moi, ce que je veux, c’est partager des moments agréables avec une partenaire.
Virginie • Quand on dit qu’il ne faut pas d’a priori, plus j’avance dans la vie et plus j’en ai. Quand j’étais plus jeune, c’est le cœur ou le corps qui parlait. Mais pour que ça tienne, il y a des fondamentaux. Le partage surtout, aller vers l’autre. Tous les jours faire attention à l’autre, être dans le don. Mais à 20 ans, je ne l’avais pas encore compris.
Stéphane • Moi, j’ai des critères qui me conviennent. J’ai toujours aimé les femmes plus âgées, plus accomplies professionnellement et qui me font rêver. Cela a toujours trait au voyage, à des personnes qui ont vécu à l’étranger, qui ont eu cette expérience qui vous transforme. J’ai besoin d’admirer, c’est mon côté féminin. Je suis aussi convaincu qu’on n’est pas forcément faits pour vivre à deux mais on peut faire plein de choses ensemble. On est tellement différents. Je n’aspire pas à la vie commune. Idéalement, elle parlerait trois langues différentes.
•••> suite des témoignages
Ce qui est important, c’est le cheminement. La prochaine relation, pour la reconnaître, il faut écouter ce que dit le corps et être attentive aux signes mais pour les saisir, le plus dur, c’est le lâcher-prise et rester à l’écoute de son corps et de son cœur.
Fabien • J’ai eu une vie sentimentale suffisamment riche parce que mon premier amour, je l’ai rencontré à l’âge de 12 ans et j’ai cru longtemps qu’elle était la femme de ma vie. Puis j’ai rencontré la mère de mes enfants. Après la rupture, j’ai profité de ma liberté. Maintenant je me pose la question : qu’est-ce que je cherche vraiment ? Il n’y a pas d’idéal. On veut juste être accompagné. Les critères doivent être raisonnables. Moi, ce que je veux, c’est partager des moments agréables avec une partenaire.
Virginie • Quand on dit qu’il ne faut pas d’a priori, plus j’avance dans la vie et plus j’en ai. Quand j’étais plus jeune, c’est le cœur ou le corps qui parlait. Mais pour que ça tienne, il y a des fondamentaux. Le partage surtout, aller vers l’autre. Tous les jours faire attention à l’autre, être dans le don. Mais à 20 ans, je ne l’avais pas encore compris.
Stéphane • Moi, j’ai des critères qui me conviennent. J’ai toujours aimé les femmes plus âgées, plus accomplies professionnellement et qui me font rêver. Cela a toujours trait au voyage, à des personnes qui ont vécu à l’étranger, qui ont eu cette expérience qui vous transforme. J’ai besoin d’admirer, c’est mon côté féminin. Je suis aussi convaincu qu’on n’est pas forcément faits pour vivre à deux mais on peut faire plein de choses ensemble. On est tellement différents. Je n’aspire pas à la vie commune. Idéalement, elle parlerait trois langues différentes.
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