V.V. - Quand l’opération est réussie, on apprécie le résultat mais ce sont les excès et les abus qui posent problème.
C’est surprenant mais même dans les cas de chirurgie répétitive comme ce fut le cas pour Michaël Jackson, il y avait une réticence à reconnaître que son changement de physionomie n’avait rien de naturel. Il y a souvent des ressorts psychologiques derrière ce refus.
Mais dans certains pays, la chirurgie plastique est tellement présente que c’est presque un passage obligé. Je pense au Brésil ou même en Amérique du Nord ou ces opérations sont admises au même titre que l’exercice physique ou le body-building pour garder un corps ferme.
En revanche, dans la vieille Europe, la discrétion est de rigueur. Le refus de vieillir et l’envie de continuer à séduire en aidant la nature sont toujours mal vus.
C’est surprenant mais même dans les cas de chirurgie répétitive comme ce fut le cas pour Michaël Jackson, il y avait une réticence à reconnaître que son changement de physionomie n’avait rien de naturel. Il y a souvent des ressorts psychologiques derrière ce refus.
Mais dans certains pays, la chirurgie plastique est tellement présente que c’est presque un passage obligé. Je pense au Brésil ou même en Amérique du Nord ou ces opérations sont admises au même titre que l’exercice physique ou le body-building pour garder un corps ferme.
En revanche, dans la vieille Europe, la discrétion est de rigueur. Le refus de vieillir et l’envie de continuer à séduire en aidant la nature sont toujours mal vus.
Ci-dessus, l'actrice-chanteuse Cher avant et après.
V.V. - Il y a aussi les opérations ratées dont on ne veut pas parler. Dans une enquête menée par le Point en 2007, les assureurs reconnaissaient avoir dix fois plus de litiges avec la chirurgie esthétique, soit 20 % contre 2% pour les autres actes médicaux.
Et c’est sans compter les victimes qui n’osent pas porter plainte après une opération ratée.
Par ailleurs, 10 à 30 % des interventions de chirurgie esthétique nécessiteraient des retouches dont il faut parfois négocier la prise en charge. Cela reste des actes chirurgicaux à gros risques. Et il est conseillé de se renseigner sur les praticiens auprès de l’Ordre des médecins.
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