4/_Ce petit garçon, où êtes-vous allé le chercher dans l’inspiration ? Le petit Elie Chouraqui avait-il une relation très forte avec sa maman ?

Elie Chouraqui : Oui sans aucun doute ! Une relation très fusionnelle. Mais j’ai aussi construit ce petit garçon d’après mon beau-fils, mes belles-filles, et mes enfants. J’ai vu avec mes beaux-enfants comment ils réagissaient à mon arrivée, j’ai vu avec mes enfants comment ils réagissaient à l’arrivée d’Anne dans la vie de leur père.
Leur vision critique, leur sympathie, leurs angoisses, leurs inquiétudes, qu’ils ont parfois partagé avec moi et parfois non. C’est vrai que j’avais devant moi un terrain d’expérimentation extraordinaire pour faire ce film et pour faire le portrait de ce petit garçon.
Achille (Anton Balekdjian) dans les bras d'Isabelle, sa mère (Barbara Schulz).
Leur vision critique, leur sympathie, leurs angoisses, leurs inquiétudes, qu’ils ont parfois partagé avec moi et parfois non. C’est vrai que j’avais devant moi un terrain d’expérimentation extraordinaire pour faire ce film et pour faire le portrait de ce petit garçon.
Achille (Anton Balekdjian) dans les bras d'Isabelle, sa mère (Barbara Schulz).